Présentation de l'édition génétique



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Présentation


Nous proposons dans les pages qui suivent une transcription codée du manuscrit conservé à la Bibliothèque Nationale de France sous la cote N.a.fr. 25276.

Le texte a été établi d’après le microfilm n° 9141 du manuscrit, dans la mesure où il a été possible de le déchiffrer, collationné avec les éditions d’Helen Hart Poggenburg (Œuvres complètes, Paris, Champion, 2000) et de J. Bony (Gaspard de la nuit, GF-Flammarion, Paris, 2005).

Une vérification sur le manuscrit original serait nécessaire pour préciser maint détail difficilement identifiable sur le microfilm. Nous espérons qu’elle pourra être faite ultérieurement.

Le codage de la transcription obéit aux règles suivantes :

Les notes de Bertrand ont été conservées et signalées, comme sur le manuscrit, par un astérisque (cas le plus fréquent).

Les ajouts marginaux ont été conservées et placés dans la marge gauche du texte, comme sur le manuscrit. Dans la plupart des cas, ils sont précédés d’un signe de renvoi (x) que nous avons également indiqué (x, .x., ≠).

Les ajouts interlinéaires sont signalés par les crochets aigus doubles (<< >>).

Nous avons distingué deux types de ratures : les textes biffés et les textes recouverts d’une rature bouclée. Nous reproduisons le texte barré dans le premier cas : textes biffés. Nous mettons le texte entre crochets droits dans le second : [textes recouverts d’une rature bouclée]. Les textes non déchiffrés raturés sont désignés par les initiales n.d. barrées : n.d.. Les textes non déchiffrés recouverts d’une rature bouclée sont désignés par les initiales n. d. mises entre crochets droits : [n.d.]. Si le début est déchiffrable et que seule la suite ne l’est pas non indiquons s. n. d. (pour « suite non déchiffrée ») : [avec s.n.d.] S’il est possible d’indiquer la nature du texte biffé, nous la précisons : lettre (l.n.d.), mot (m. n. d.), plusieurs mots (p.m.n.d.), chiffre (c.n.d.).

Les textes surchargés sont indiqués entre crochets aigus (). Si le texte surchargé est lisible nous le mettons entre parenthèses avant le texte de surcharge <(texte surchargé) texte qui surcharge>, si nous ne sommes pas sûre de la lecture nous le faisons suivre d’un point d’interrogation <(texte surchargé (?)) texte qui surcharge>, s’il est illisible, nous l’indiquons par les initiales n. d.

La pagination a été mainte fois modifiée. Nous reproduisons les indications raturées et les paginations qui s’y sont substituées. Nous indiquons également la pagination effectuée par la BNF lors de l’acquisition du manuscrit mais en plaçant l’indication entre double crochets droits pour la distinguer nettement des paginations manuscrites.

Lorsqu’il y a une réclame en bas de page (fait assez rare), nous la reproduisons.

Des notes de bas de page précisent les changements d’encre signalés par J. Bony et invisibles sur le microfilm.

Les autres signes (courbes, ellipses simples, doubles ou triples, etc.) marquent l’emplacement d’un enjolivement graphique.

Nous avons adopté la police Times New Roman 12 (10 pour les notes de bas de page), sauf lorsque Bertrand précisait dans une accolade face à son texte « Gothiques grasses » (c’est le cas de chaque début et chaque fin de livre qui a donc été transcrit en police Old English Text MT) ou « composer en très petits caractères » (c’est le cas du poème « Gothique donjon/en flèche gothique… » (page [[6]]) transcrit en police 10).


Nathalie Ravonneaux.

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